Les bienfaits du savon au lait d’ânesse bio

Réputé pour ses bienfaits depuis au moins l'Antiquité, le savon au lait d’anesse bio est un produit aux nombreuses vertus et fonctionnalités thérapeutiques. Il s'utilise pour soigner, nourrir et réconforter bon nombre de types de peaux, qu'elles soient sèches, acnéiques ou sensibles.

Un savon au lait d'ânesse frais et biologique possède en effet des composants riches en vitamines, acides aminés, en minéraux et oligo-éléments (calcium, magnésium, phosphore, etc.) lui permettant d'être à la fois anti-âge, cicatrisant, hydratant et adoucissant, tout en contribuant à préserver la beauté de la peau.

Excellent régénérateur et tenseur naturel, il aide à raffermir et lisser la peau, agissant comme un régulateur de l'équilibre physiologique cutané. Le savon au lait d'ânesse constitue également un actif puissant contre les problèmes d'eczéma ou de psoriasis. Qui plus est, de par sa base 100% végétale, il est doté d'un très faible taux en matière grasse en plus d'être hypoallergénique.

Ses bienfaits ne s'arrêtent pas là car le lait d'ânesse, rare et précieux, est pourvu d'immunoglobulines, ces protéines qui stimulent et protègent le métabolisme. Il contient par ailleurs des alkylglycérols et des acides gras boostant l’immunité et les défenses naturelles. Le savon biologique frais au lait d'ânesse est donc à recommander pour tous les membres de la famille, ses bienfaits agissant aussi bien sur le corps que sur le visage ou les mains.

Un savon au lait d'anesse bio qui respecte le bien-être animal

Le savon au lait d'ânesse biologique peut être fabriqué en France, au sein d'âsineries généralement artisanales, favorisant une approche éco-responsable et durable. Le véritable savon au lait d’anesse bio est réalisé avec la plus grande considération des animaux, d'une part concernant les conditions d'élevage des ânesses mais également le respect primordial dû aux ânons et à leur allaitement maternel. Les producteurs écologiques laissent ainsi aux ânons le temps d’être sevrés avant que le lait soit prélevé, l'objectif étant bien entendu qu'aucun mal-être animal ne soit généré par l'exploitation du lait d’ânesse.

En ce sens, la traite des ânesses se fait à la main, une à deux fois par jour maximum, et commence seulement à partir du moment où l'ânon mange de l’herbe et du foin, signifiant qu'il peut diversifier son alimentation. S'il bénéficie d’une alimentation solide en journée, en corrélation avec son besoin de croissance, il maintient par ailleurs une sustentation lactée auprès de sa mère le reste du temps.

Le bien-être des animaux doit être également garanti par la mise en place d'une complémentation alimentaire des mères et des ânons durant la période de traite, et ce afin de ne pas négliger la santé des animaux, d'assurer la croissance optimale des ânons et d'obtenir en sus la meilleure qualité de lait possible.

Il n'est pas question ensuite d'envoyer les ânons à l'abattoir ; ils pourront rendre bien des services à des particuliers ou éleveurs pour l'attelage, le débardage ou des activités de randonnée. Des jeunes ânesses sont en parallèles gardées afin d'agrandir et renouveler de façon régulière le troupeau. La finalité étant que tous les ânes aient une vie et fin de vie la plus paisible possible. Pour en savoir plus sur le sujet, rendez-vous sur www.aupaysdesanes.com